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De l'auteur : La bonne attitude psychologique fait partie intégrante d'un processus de perte de poids réussi. Comment se traiter pour que ce processus se déroule favorablement ? « Traitez-le comme un animal - paresseux, insidieux, sans principes et rusé. Considérez-le comme un bâtard qui essaie de se déchaîner et de s'enfuir... Si vous travaillez pour obtenir des résultats, le bâtard (l'organisme) doit être maintenu en chaîne, idéalement dans un état de stress », écrit Lena Miro dans son livre « LJ... oups ! L’uniforme de plage est un-deux-trois. » En fait, lorsque nous perdons du poids, notre corps « y résiste ». Il n’a pas l’intention de perdre du poids, il se sent déjà bien. C’est familier, calme, confortable et vous avez envie de manger, pas de faire du fitness. C’est compréhensible et biologiquement naturel. Tout organisme obéit au principe de l'homéostasie - le désir de maintenir son état habituel. Mais il n’a ni volonté ni désir propres. Il ne peut pas être « paresseux, perfide, sans scrupules et rusé ». Alors qui est-ce ? Et comment devrions-nous le traiter ? Évidemment, nous parlons d’une partie de la personnalité qui sabote les tentatives de se limiter en matière d’alimentation et d’exercice. Il y a aussi une partie qui veut perdre du poids et est prête à faire des efforts pour cela. Comment pensez-vous que la première partie se comportera si la seconde lui dit : « Tu es un animal paresseux, je te tiendrai enchaîné » ? Essayez de vous mettre à sa place. Bon? Probablement pas. Voulez-vous vous asseoir sur une chaîne ? C’est peu probable, mais j’ai plutôt envie de me déchaîner. C’est souvent ce que font de nombreuses personnes qui perdent du poids. Ils s'effondrent. Comme hors de la chaîne. Après s'être mis dessus. Ils mangent à leur guise après une période d'abstinence, arrêtent d'aller à la salle de sport, après une série d'exercices épuisants. Une partie, voulant perdre du poids, « le maintient en chaîne », critique et gronde l'autre, ne voulant pas céder. profiter des plaisirs habituels de la vie et attendre de se venger. Il s'agit d'un cercle vicieux : d'abord une partie prend le dessus, puis l'autre, et le chariot, c'est-à-dire le poids, est toujours là. Comment ouvrir cette chaîne ? L'idée d'Eric Berne selon laquelle la psyché humaine comporte trois états : Parent, Adulte et Enfant est devenue largement connue. Voyons qui est qui, à qui nous avons affaire. Donc, la partie de la personnalité qui veut perdre du poids. Je vais décrire un certain portrait généralisé. Elle a un objectif, elle sait comment l'atteindre. Elle est prête à faire des efforts pour cela, à accepter les limites et à surmonter les difficultés. On dirait que c'est un adulte. Une décision adulte équilibrée est une bonne motivation pour perdre du poids. Le Parent le rejoint également - il contrôle, interdit ou permet, force ou persuade, loue ou gronde, soutient ou repousse Une partie de la personnalité qui ne veut pas endurer la privation. Parfois capricieux, parfois de mauvaise humeur. Elle veut des choses sucrées, salées, frites, farineuses. Elle gémit, supplie et, complètement désespérée, crie : « Donne-moi ! ou "Je ne le ferai pas!" et obtient ce qu'il veut. C'est l'Enfant Intérieur. Qui s'occupe des enfants ? C'est vrai, parents. Notre parent intérieur interagit avec l'enfant intérieur sur diverses questions, y compris la situation de perte de poids. Lorsque nous perdons du poids, c'est difficile pour l'enfant intérieur. Il est fatigué et veut quelque chose de sucré, ou peut-être une attitude gentille, il se sent mal, et la façon dont nous réagissons à cet état dépend du type de parent intérieur que nous avons. S'il est strict, cruel envers l'Enfant Intérieur et ignore ses sentiments, nous obtenons alors un conflit intrapersonnel, une tension interne constante. Et en surface il y a un swing : contrôle - pannes, contrôle - pannes. Cette attitude envers soi-même est improductive et lourde de dépression. Une alternative pour briser le cercle vicieux est d’établir le contact avec l’Enfant Intérieur. Un bon contact (à ne pas confondre avec l'indulgence) avec votre Enfant Intérieur comprend : l'attention portée à son état et à ses besoins ; la capacité de négocier plutôt que de forcer ; l'acceptation des sentiments à la fois positifs et négatifs ; ; l'absence d'interdictions dénuées de sens ou trop strictes ;.