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La violence domestique semble effrayante. J'imagine immédiatement des cris, des jurons, de la vaisselle cassée, des bleus, des vêtements déchirés... Mais je sais avec certitude que la violence a un autre côté, ce côté est calme, inaperçu, et ce sont tous des gens très honnêtes... Personne ne crie... Quoi. Est-ce indécent ?! Ne frappe pas... Pourquoi est-ce inacceptable ?! C'est le côté tranquille qui ronge vos idées par petites gouttes, sape vos limites avec une lime à ongles, ronge votre cerveau d'attitudes empoisonnées : « On ne sait jamais ce que l'on veut ?! Il faut d'abord penser à ses parents, et ensuite à soi, » « Honte à toi, tu ne veux pas aider ta maman, elle est fatiguée ! » etc. Ces gouttelettes se manifestent très clairement dans l'exemple des parents d'adolescents. Les adolescents sont déjà différents, il faut négocier avec eux, ils défendent leur territoire, il est important d'écouter leur avis, et ici surtout, cela se voit... Les parents commencent à déborder d'idées. Je vais en donner quelques-unes : Idée 1. « Il n'est pas nécessaire de fermer la porte de la pièce, il est important que la porte soit toujours ouverte, sinon, qui sait ce qu'il fait là ?! » vieux, vit seul avec sa mère, et c'est vrai qu'il peut faire plein de choses différentes dans la chambre. Ainsi, il vit toujours sous les yeux de sa mère... Idée 2. « Nous sommes allés aider grand-mère et tu es avec nous, nous n'y irons pas seuls. Maman et papa ne sont pas très disposés à aller aider. » leur belle-mère à la datcha, ils y vont parce qu'ils le doivent, ils ne peuvent pas dire non, ils doivent y aller chaque année et aider à la cueillette des tomates. Ensuite, ramenez-les à la maison, posez-les par terre et attendez qu'elles passent du vert au rouge, puis jetez la moitié des tomates, car personne ne peut en manger autant. Et ce pauvre adolescent se voit simplement présenter le fait que nous partons dimanche. Personne ne le prévient même à l'avance, ne lui demande s'il peut ou pas... "Et tu n'as pas honte d'aller chez ta grand-mère avec une telle tête... Eh bien, nous sommes les seuls à avoir pour cueillir ces tomates, il faut s'habituer à la vie d'adulte." Idée 3. « On ne sait jamais ce qu'elle n'aime pas, j'y suis habituée. » Une jeune fille de 15 ans demande à sa mère de ne pas l'appeler « Bunny »... en réponse : « Bunny, tu es juste un lapin ». je n'aime pas ta mère, mais ta mère a tant fait pour toi.". J'ai encore ces idées de livre, tu peux juste écrire et écrire... Je pense que ce n'est pas le dernier post... Je Pensez-vous que vous avez vos propres morceaux de violence domestique, calmes et corrosifs ? Je serai heureux si vous partagez.